• J'imagine que certaines personnes grâce à leur métier sont invitées à des avant-premières de super films qui gagnent des prix dans des festivals internationaux, avec des acteurs top sexy et très très connus. Moi, en tant que super chercheuse en nanosciences j'ai été invitée récemment à l'avant-première de "Alice au Pays des Cafards"... On n'a que ce que l'on mérite. Ce film trop glamour raconte comment des chercheurs ont introduit de petits robots, appelés "Alice" puis "Insbot" pour "insect-robot" chez les cafards. La conclusion de leurs travaux c'est qu'au bout de 4 ans (oui, les chercheurs sont des gens patients) les robots peuvent influencer le comportement d'une société animale.



    Comme quoi, le prince Charles quand il a dit qu'il fallait se méfier des nanosciences, il n'avait pas tort. Tous ces nano-robots qui s'inflitrent dans des colonies de cafards pour y prendre le pouvoir et certainement les monter contre nous, moi, ça me fait froid dans le dos.



     



     


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  •  Deux chercheurs japonais en visite au labo, ce matin:


    "Ah, tu étais à Tokyo?"


    Moi "Oui, je travaillais dans le labo de Professeur de la Rivière dans la Longue Vallée (ou de la Longue Rivière dans la Vallée, j'ai jamais su). Et aussi y'avait mon collègue Gros Rocher"


    Eux "Ah, oui, on connait bien ce groupe. On vient de la même université. Dis, donc, c'était pas trop dur? Parce que, de toute la fac, c'est le labo où l'on bosse le plus. Nous, on  ne travaille pas autant."


    ET ON N'AURAIT PAS PU ME PREVENIR AVANT, NON?


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  • Ami scientifique, si tu veux te payer une bonne rigolade avant la rentrée, je te conseille le rapport du Pr. H. Broch sur la thèse de sociologie de Mme Germaine Teissier:



    Jenrisencore



     



     


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  • Espérons que la cuvée 2006/2007 sera à la hauteur

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  • Récemment, j'ai fait une découverte intéressante:


    quand je prépare du thé  en salle BZ103 du labo, l'accélérateur d'ions dans la pièce à coté s'arrête ou alors il y a refoulement dans le circuit de refroidissement du même accélérateur et ça fait un geyser.


    Cette découverte ne me vaudra peut-être pas un prix Nobel mais en attendant, qu'est-ce que ça m'amuse.


    Bien sûr, avec mon esprit esprit scientifique curieux de tout, je ne vais pas m'arrêter là. Je vais bientôt brancher ma bouilloire électrique dans d'autres recoins du labo pour voir quelles nouvelles catastrophes je peux éventuellement provoquer. Une étude systématique s'impose.


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